Avant, S&S accordait des droits d'exploitation de ses licences à des distributeurs européens. C'est toujours le cas en partie pour des concurrents par exemple Glénat (pour combien de temps ?...
) mais S&S a la possibilité de distribuer lui-même d'autres licences, par l'intermédiaire de ses nouvelles filiales dont il pilote l'administration.
Ainsi, le choix de nouvelles séries de mangas, animes et merchandising dépend directement de ce que S&S veut développer sur le marché européen. Les délais d'adaptations, à mon avis, ne seront réduits que de peu. On gagne sur le temps d'acquisition des droits, mais pas sur celui de la protection industrielle en France, ni sur celui de la traduction (qu'on ne peut réduire à l'infini).